Nous sommes tous un.

« Je t’aime, je suis désolé, s’il te plaît pardonne-moi, merci. »

Cette déclaration porte sur les erreurs que l’on a dans sa vie, mais aussi sur le fait de demander aux gens de nous pardonner ces erreurs. Cela demande un saut de conscience pour comprendre.

« Pour changer le monde, changez-vous vous-même ».

Ce dicton bien connu est exactement le sujet du dicton précédent.

Si je suis toi et que tu es moi, si tu es malade mental (touche du bois), tu es malade à cause d’une faute que j’ai parce que toi et moi sommes une seule et même personne qui prétend être deux personnes distinctes.

Donc, si je change, vous changerez aussi parce que nous sommes une seule et même personne. Jésus nous l’a dit il y a plus de 2000 ans, mais nous ne comprenons toujours pas.

Mais, en même temps, vous devez aussi reconnaître que nous ne faisons qu’un. Si vous êtes malade et que je suis désolé que vous soyez malade (à cause d’une faute que j’ai) et que je vous demande pardon et que j’essaie de changer, vous devez aussi reconnaître que nous sommes liés et que votre maladie est due à une faute que j’ai. Alors, si vous pouvez accepter que je suis désolé et que j’ai corrigé la faute, vous n’avez plus besoin d’être malade. Ainsi, vous serez guéri de la maladie.

C’est une vieille sagesse.

Elle nous a été cachée par les Archontes et les gens maléfiques parce qu’ils ne veulent pas que nous empruntions cette voie.

C’est, d’une certaine manière, la loi de l’attraction mutuelle à l’œuvre. Si vous êtes malade et que j’ai le pouvoir de guérir votre maladie en éliminant simplement mes fautes, cela signifie qu’il y a une étroite interconnexion entre nous.

En fait, nous sommes une seule et même personne. Donc, si je peux changer, vous serez guéris.

Maintenant, étendez cela à toutes les guerres, au crime et à la haine dans le monde. Si nous changeons et devenons un peuple plus aimant et plus pacifique, les guerres doivent finir par cesser.

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