Dieu crée la vie et, l’ayant créée, il la laisse évoluer à sa guise, sachant que, d’une manière ou d’une autre, elle reviendra à lui, éventuellement.
Dieu, est la conscience universelle, donc, si c’est vrai, il serait inutile que toute vie soit modèle de vertu « goody, goody, two shoes ». Dieu a besoin que certains d’entre nous soient mauvais pour qu’il puisse apprendre les deux côtés de la médaille. Ce n’est qu’en ayant, selon moi, le bien et le mal opérant simultanément que la conscience universelle peut évoluer.
- Nous devons avoir le mal pour le rejeter.
- Nous devons avoir le bien pour savoir que c’est la voie à suivre.
- Nous devons avoir ces décisions que nous devons prendre et faire pour évoluer.
- Nous apprenons de nos erreurs.
Nos erreurs viennent de la partie ego de nous, de la partie animale de combat et de fuite de nous. Lorsque nous réduisons l’ego, qui est notre partie lutte/fuite, notre soi supérieur – la partie positive, celle de Dieu, prend le dessus.
C’est la dichotomie, le casse-tête que nous sommes ici pour résoudre.
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