Où irai-je quand je mourrai ?

Il n’y a pas que l’enfer, Summerland et puis le vrai paradis. Il existe des centaines de paysages différents et nous sommes attirés par l’un d’entre eux en fonction de notre fréquence. Notre fréquence dépend de ce que nous avons fait pendant notre incarnation.

Laissez-moi vous expliquer un peu.

En théorie, vous pourriez emprunter un chemin depuis les profondeurs de l’enfer jusqu’à la fusion avec Dieu. C’est un long chemin et j’ai parcouru une partie de ce chemin avec un guide.

Imaginez que vous avez commencé au point le plus bas de l’enfer, qui est une zone noire, gluante et abandonnée.

Au fur et à mesure que vous marchez, l’enfer devient progressivement plus lumineux jusqu’à ce qu’il se confond avec Summerland. Cela commence assez sombre et lugubre mais continue à partir du dernier niveau de l’enfer. Puis, au fur et à mesure que vous continuez à marcher, cela devient de plus en plus brillant et plus beau jusqu’à ce que, finalement, il fusionne avec les niveaux du ciel. Ceux-ci deviennent de plus en plus merveilleux jusqu’à ce qu’au bout du chemin nous fusionnions avec la Divinité. C’est la fin du voyage.

Nous sommes attirés par l’un de ces niveaux selon la façon dont nous avons vécu, comme je l’ai dit. Les mauvaises personnes vont à un niveau bas. La personne moyenne va à l’un des niveaux de Summerland et à partir de là, nous pouvons progresser vers Dieu.

Ainsi, il existe un grand nombre de paysages, tous vibrant à des fréquences différentes et nous sommes attirés par celui qui correspond à notre fréquence qui, à son tour, dépend de la façon dont nous avons vécu notre vie. Plus nous sommes serviables et gentils, plus notre fréquence est élevée. Plus nous sommes cruels, égoïstes, plus notre fréquence est basse.

De cette façon, la vie est totalement juste. Tu finis selon qui tu étais. On peut, bien sûr, progresser vers le haut si on le souhaite. De même, on peut descendre vers les niveaux inférieurs si on le souhaite. Nous avons le libre arbitre au ciel.

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