Thème : L’étudiant doit essayer d’équilibrer ses auras et son pouvoir aurique pour atteindre une santé parfaite.
Référence : Auras – Interprétation & Compréhension – Pg. 82
Nous espérons que l’étudiant en connaissances ésotériques lisant ce livre aura suffisamment de connaissances pour savoir combien d’auras il y a et combien de points de chakra il y a. Pour ceux qui ne le savent pas, nous dirons qu’il y a sept chakras, chacun connecté à l’extrémité d’une aura un peu comme si les auras étaient des fils électriques et chaque chakra était une prise, reliant les fils au corps physique. C’est la fonction du double éthérique. Les auras ne se connectent pas directement au corps physique. Ils se connectent au double éthérique et, comme ce double éthérique agit comme un transformateur, il augmente ou réduit la puissance de chaque aura avant de transmettre ce signal aurique au corps. Nous souhaitons que vous compreniez clairement que le double éthérique est capable d’accepter les sept auras, d’augmenter ou de réduire leur puissance jusqu’à ce qu’elles soient toutes au même niveau et à une puissance globale que le corps peut accepter, qu’il se sépare ensuite à nouveau et passe au corps, aux points d’entrée décrits dans la littérature ésotérique : à savoir le chakra racine, le chakra sacré, le chakra du plexus solaire, le chakra du cœur, le chakra de la gorge, le chakra du centre du front et le chakra du sommet de la tête. Maintenant, il est important que toute cette énergie entrant dans ces points de chakra depuis les auras via le double éthérique soit également équilibrée. C’est le travail du double éthérique et il surveille constamment la puissance qui coule des auras et dans le double éthérique et est toujours actif en faisant son maximum pour équilibrer ces sept sources de puissance séparées et les faire correspondre, non seulement entre elles, mais à une puissance que le corps humain peut accepter. Nous devrions peut-être dire que le même processus se déroule dans chaque objet, animal, végétal ou minéral, mais nous ne voulons pas compliquer les choses en considérant ces formes de vie et nous considérons donc uniquement les humains.
Cependant, et malheureusement, nos émotions humaines peuvent jouer un rôle dans l’acceptation du pouvoir dans le corps. Chez une personne parfaite, le pouvoir entrant dans le corps via le double éthérique serait en parfait équilibre, mais combien d’entre nous sont parfaits ? Nous pourrions par exemple considérer que des maîtres tels que Jésus ou Bouddha étaient parfaits, mais une enquête sur leur vie révélerait qu’eux aussi ont lutté pour atteindre ce point d’équilibre parfait. Pour nous, petits mortels, nous avons tendance à traverser la vie avec un ou plusieurs de nos éléments auriques déséquilibrés. Nous avons tous rencontré des personnes avec une libido surdéveloppée, ou un sens de l’ego surdéveloppé, une pulsion pour le pouvoir, d’argent et d’autres concepts terrestres. Certaines personnes sont très gentilles tandis que d’autres nous les appelons sans cœur. Beaucoup ont des dépendances à l’alcool ou à la drogue, etc. Ce sont tous des signes de personnes dont l’afflux de puissance aurique est déséquilibré. Dans certains cas, ce déséquilibre peut provoquer des maladies, et c’est souvent le cas.
Une santé parfaite ne peut être obtenue que dans la mesure où notre influx aurique est harmonieux. Ainsi, il est important que l’étudiant en connaissance ésotérique essaie, par la méditation, d’équilibrer ses auras.
Il est également important d’apprendre à écouter le corps et à reconnaître quand quelque chose est déséquilibré et essayer de corriger ce déséquilibre en ne cédant pas à la faute jusqu’à ce qu’elle meure par manque d’alimentation. Si nous ne cédons pas à la colère, à la jalousie, aux dépendances, au désir de pouvoir sur les autres, à la recherche d’argent au-delà de ce dont nous avons besoin pour survivre, etc., nous pouvons progressivement aider le double éthérique à équilibrer le corps et la pensée. Alors, et alors seulement pourrons-nous vraiment devenir les êtres parfaits que Dieu a faits de nous. Mais il faut dire que si nous étions parfaits, nous ne nous serions pas incarnés en premier lieu.
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